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 Un croiseur au dessus la ville : controle final - Cephauss

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Cephauss
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Cephauss


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MessageSujet: Un croiseur au dessus la ville : controle final - Cephauss   Un croiseur au dessus la ville : controle final - Cephauss EmptyMer 14 Juin 2006 - 13:15

Précédemment :

- GC ! Referme la plate forme gravitationnelle tout de suite et informe-moi de l’activité covenant à bord.
- A vos ordres, me répondit l’I.A de sa voix mélodieuse. Plate-forme refermée. Unités covenant sur les ponts six, sept, neuf et douze.
- Verrouille toutes les portes des sas dans ces zones, dépêche-toi et prend les commandes du croiseur pour nous amenez à bon port, lui ordonnais-je.
- A vos ordres, sas verrouillés, programme de piratage des commandes en cour d’initialisation.
Je m’assis à près de Taylor et du corps de Mac carty. Le médecin de mon détachement l’examina.
- C’est grave toubib ? lui demandais-je.
- Il à une hémorragie interne. Il à reçu la grenade presque de plein fouet !

Heure militaire : 0030

GC m’interrompit :
- Procédure d’initialisation terminée avec succès. Destination programmée confirmée.
Pour la première fois de la journée, je me sentais bien et me suis mis à rire.


Suite de la mission :

Destination : QG des forces de la Résistance.
Situation : En attente à bord du vaisseau covenant « Sacred Union » de la classe CCS battle cruiser « purity of spirit ».

Heure militaire : 0035

- Andersen ! Faites-moi un rapport de la situation ! dis-je, toujours assis sur la passerelle de commande.
- Bien chef ! répondit-il. Il se tourna, parla à un des hommes de la section puis commença son inspection et comptabilisa le nombre d’hommes restants.
Mon groupe armé Echo, tous assis sur le pont à part quelques-uns uns, prenaient un peu de repos. Ceux étant le plus près des ouvertures des sas se tenaient prêt à une quelconque attaque de la part de l’ennemis. Le médecin m’examina, injecta de la mousse biochimique entre mes côtes cassées pour les stabiliser et calmer ma douleur. Puis il fît rapidement le tour des blessés de ma section, après avoir mit ce pauvre Mac Carty, toujours inconscient, sous sédatif.
Mon regard se porta vers la copie de notre arme la plus précieuse : GC. La plus intelligente des I.A. « stupide » créé par l’homme. Elle s’était représentée par un hologramme de trente centimètres de haut, sous la forme d’une frêle jeune femme, habillée d’une toge qui recouvrait la quasi-totalité de son corps et assise sur une sphère lumineuse statique. Son regard portait au loin, des séries de chiffres défilant dans la pupille de ses yeux. Mais n’étant la copie que d’une part d’elle-même, ses super-calculateurs et processeurs tournaient à plein régime et ne pouvaient offrir qu’une palette très réduite de performances.
Cinq minutes plus tôt, alors que nous quittions la ville de Phœnix, le vaisseau covenant percuta un immeuble voisin, dont les débris s’écrasèrent sur une partie des troupes covenant au sol. Les réacteurs, tournant à la moitié de leur puissance, offraient tous de même un meilleur rendement en terme de vitesse et de fiabilité. Nous avions grimpé en direction de la haute-atmosphère, pour mieux contrôler le croiseur.
- Nous serons arrivés à destination dans trente huit minutes en maintenant cette allure ! m’informa GC.
- Très bien, continue à m’informer des mouvements ennemis à bord, je voudrais éviter les mauvaises surprises ! ordonnais-je.
- A vos ordres! me dit-elle, une pointe de cybernétisme dans sa voix. Ce fût quand même doux à entendre. Les femmes étant rares dans l’armée, elles préfèrent plutôt montrer le caractère dominateur de leur personnalité pour ne pas se faire rejeter par le reste de leur homologues masculin.
- Andersen s’approcha : Chef ! Tous semblent en ordre. Nous n’avons perdu aucune armes et aucune pièce de matériel ! Par contre plusieurs d’entres nous manquent à l’appel… Nous ne sommes plus que soixante-neuf.
- Très bien, vous pouvez disposer… Ah ! Au fait, vu que le chef Mac Carty est dans l’impossibilité de remplir ses fonctions, vous le remplacer. Nous sommes d’accord soldat ?
- Oui chef ! Bien sûr chef !


Heure militaire : 0040


Le sommeil commença à me gagner. Mais je devais rester éveillé, et pour ce faire, je me leva et commença à faire le tour de la salle. Contre les parois des murs d’acier, les blessés étaient clairement visibles à leur bandage. Certains en avaient autour de la tête, d’autre, recouvrait leurs plaies sur leurs cuisses ou leur bras. Le toubib se tenait au pied d’un des soldats dont la jambe gauche fut arrachée au niveau de la rotule.
- Comment est-ce arrivée ? lui demandais-je.
- Apparemment à cause d’une charge de pistolet à plasma. Je lui fais un garrot, mais je n’aurais bientôt plus de morphine pour calmer sa douleur.
- Nous serons arrivés dans un peu plus d’une demi-heure, il faudra qu’il tienne jusque-là.
Le sang se répandait du membre sectionné. Finalement, des os fracturés, se n’est rien par rapport à une jambe perdue. J’avais eu plus de chance que lui. C’est toujours à la fin de la bataille que l’on se rend compte que la guerre est sans doute la plus horrible invention créée par des êtres intelligents. Si encore ils l’étaient réellement. GC me coupa dans mes pensées :
- Unités covenant en déplacement dans les couloirs du pont bâbord. Ils se dirigent vers le pont dix.
- Très bien, on va aller les déloger de leur cachette. GC, continue à me donner l’emplacement de l’ennemis via la radio de nos casques. Andersen, prend vingt hommes avec toi et passe par le pont onze tribord pour contourné la cible. Taylor, sélectionne dix-neuf soldats et viens avec moi, on va aller directement à leur rencontres. Quant au reste de l’équipe, vous rester ici avec le médecin pour protéger les commandes du vaisseau. Aller c’est parti !
Les OSDT se mirent en mouvement. J’empoigna le casque de Mac Carty, maintenant sans utilité immédiate pour son ancien propriétaire, et le fixa au reste de ma combinaison. Après avoir rechargé mon arme, nous nous sommes séparés en deux groupes à la rencontre des locataires des lieux.
- Les covenants présents à bord se sont regroupés vers les aires d’arrimage, m’informa GC, sa voix résonnant dans mes écouteurs.
Nous nous sommes mis en file indienne et avons pris le couloir principal qui menait directement sur les docks du croiseur. Les portes s’ouvraient au fur et à mesure que nous avancions et les allées se croisaient perpendiculairement à la nôtre. Nous étions de plus en plus proche du point de rencontre.
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Cephauss
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MessageSujet: Re: Un croiseur au dessus la ville : controle final - Cephauss   Un croiseur au dessus la ville : controle final - Cephauss EmptyMer 14 Juin 2006 - 13:17

Heure militaire : 0050


Après avoir traversé un hangar contenant de multiples véhicules covenants, du char au transporteur de troupes léger, nous sommes arrivés sur une impasse au bout du couloir. Seul un trou parfaitement circulaire menait sur le pont inférieur.
- Qu’est ce qu’on fait ? Demanda Schmitt. On descend ? Ou on passe par un autre chemin ?
- Si tu veux te taper le tour du croiseur à pied c’est ton choix. Lui répondis-je. Mais le mieux serai de passer par-là. Aller aider moi à descendre.
Avec précaution, je m’infiltra par l’ouverture et scruta le couloir avec mon fusil. Tout était sombre. Seul quelque éclairage bleu sur les murs illuminait à peine l’endroit, rendant l’atmosphère sinistre et glaciale. Mes hommes me suivirent. Un contact radio grésilla dans mon casque :
- Chef ! C’est Andersen. Nous sommes à l’Est de la position de l’ennemis. Encore quelques portes à franchir et nous y sommes.
- Bien, attendez mon signal avant d’attaquer.
- Reçus ! Répondit-il.
Au bout de quelques secondes de marche, nous sommes tombés sur une étrange salle, derrière un sas, à droite. L’ouverture n’était pas très haute et assez étroite. Deux mètres de large, tout au plus. Avec principalement une grosse lampe donnant à la pièce une couleur mauve rosée. Sur les deux murs, parallèle, était encloisonné de grands barillets, contenant des armes de sniper énergétique et des carabines à plasma. Dès qu’une arme accrochée au barillet était enlever, celui tourna sur lui-même pour en présenter une autre.
- C’est l’armurerie des Jackals ! Dit alors Taylor.
- Il y a même des boucliers d’énergie ! S’exclama Vin. Fixons-les à nos bras !
Son idée n’était pas mauvaise et j’ordonna à mon groupe de se servir.
J’en saisis un, sortie de la pièce et le fixa à mon bras. Un bouton en forme de huit plein était installé sur la manchette. Je le pressa. Un bouclier ovale d’une teint orange transparent apparu. Les autres soldats prirent également chacun un de ces dispositif de protection, mais il n’n’y enavait pas pour tout le monde. Sept OSDT n’ont pu en avoir.
Taylor mis en marche le sien. Son bouclier apparut, révélant qu’il était utilisé généralement pour les Rapaces de base dans l’armée covenant :
- Attend ! Pourquoi moi et les autres, on en a des bleus tout minable au lieu d’un orange comme le tien ?
- La chance Taylor, la chance ! Lui répondis-je, une pointe d’ironie dans la voix.


Heure militaire : 0100


Nous arrivions à une porte fermée. GC me contacta à nouveau :
- La salle d’arrimage se trouve juste derrière. Mes capteurs me signalent qu’il y a exactement une cinquantaine d’ennemis. Ils se préparaient à découper les portes ! Il y a aussi un petit groupe de covenant qui se tien de l’autre côté du sas.
-Très bien ! Chuchotais-je. On va les accueillir à la grenade ! Vin, Taylor et Bob, tenez-vous prêt !
Je détacha ma grenade, pressa sur le déclencheur et appuya sur le symbole d’ouverture du sas. La porte s’ouvrit dans un bruit de frottement et dévoila le hangar remplis de fantassins aliens, principalement constitués de grunts et de Jackals. En haut d’une passerelle, les derniers Elites encore présents à bord se tenaient là, visiblement surpris que nous tentions une attaque à cet instant.
Je lança ma grenade avec les autres, mais le mouvement se répercuta sur mes côtes et me fit grincer les dents. La douleur me faisait l’effet d’un fer chauffé à blanc que l’on me pressait sur la peau. Je chancela et m’assis brusquement. La porte se referma aussitôt et une succession de d’explosion se fit entendre. J’activa l’intercom de mon casque :
- Andersen ! Toi et ton groupe, attaquez maintenant !
Aussitôt, de l’autre côté du dock d’arrimage, une autre porte s’ouvrit et une dizaine de rafales et de grenades en sortirent, explosant et faisant tomber en masse les grognards qui ripostèrent. Mais leurs tirs de plasma s’écrasèrent sur la porte maintenant refermée et qui commençait à prendre une teinte rougeoyante. Pendant ce temps, à l’opposé, Taylor s’adressa à moi :
- Piccoli !Ç a va ?
- Ce n’est rien ! lui répondis-je. Continuer d’attaquer !
Il me fit un signe de tête et franchit à nouveau avec mon groupe la porte. Les OSDT, depuis leur position surélever par rapport à l’ennemis, avait l’avantage. Ils mitraillaient le tas de covenants, les tirs de plasma des covenants s’écrasaient sur leur bouclier. Un tir chargé à plasma toucha un de mes soldat, et sa protection disparut d’un seul coup. Mais avant de pouvoir se mettre à l’abri, une nuée de tir s’abattirent sur lui, le vaporisant presque instantanément. Les grunts et les Jackals étaient pris dans un étau meurtrier.
De mon côté, j’avais remarqué le groupe d’Elites, au nombre de cinq, qui étaient sur la passerelle au -dessus, surplombant la scène. Je tenta d’ignorer ma douleur et m’allongea sur le sol. Je me saisis de mon fusil de sniper et cibla le premier chef covenant. Les Elites ne remarquèrent pas ma présence, étant trop occupés à riposter sur ma section Echo. Je pressa la détente. Une balle fendit l’air et transperça littéralement le crâne du premier Elite. Sous le poids de son corps maintenant sans vie, il tomba et s’écrasa plus bas, sur les grunts survivants. Alors que ses quatre autres camarades se demandaient d’où le tir avait pu provenir, j’en abattis un deuxième puis un troisième. Les deux Elites restant réalisèrent d’où venait le tireur et me prirent pour cible. D’un mouvement, je me recroquevilla et activa mon bouclier. Les boules de plasma le-percutèrent et commencèrent à le faire chauffer, passant de la couleur orange à un rouge écarlate : il allait céder.
Mais une explosion suivit d’un nuage de particules vertes survint à l’endroit même ou les deux Elites restant se tenaient. Leur corps en charpies tombèrent eux aussi dans le vide. Je regarda au loin et vit un des hommes d’Andersen accroupit et tenant un canon à combustible, encore fumant, à l’épaule.
Je me releva et me dirigea vers lui.
- Menace éliminer ! Me dit Andersen. On est enfin tranquille!
- Mais ou avez vous trouvez cette arme ? Lui demandais-je.
- Vers ce qui semble, comme vous, une armurerie. Répondit-il. Elle est sacrément efficace en tout cas ! Elle marche bien contre les fantassins…
Je regarda ce qui restait de l’ennemis. Plusieurs tas de corps jonchaient la baie en-dessous.
- On a perdu trois hommes…trois contre cinquante des leurs ! Me dit Taylor.
- Ouais… regroupez-vous et retournons à la salle de contrôle. Ordonnais-je.


Heure militaire : 0010


De retour, le médecin m’examina à nouveau et réinjecta de la mousse entre mes côtes. Les hommes s’assirent, s’allongèrent, discutant ou prenant un peu de repos. Taylor et Schmitt s’assirent près de moi.
- On a enfin fini cette foutue mission ! S’exclama Taylor. En rentrant à la base, je prends une douche et je m’affale sur mon lit avec une bonne bière ! Et une cigarette peut être…
Je souris en entendant ces mots. C’est vrai que l’on aura tous besoin d’une bonne nuit de sommeil.
- Vous croyez que les autres escouades on réussies dans les autres villes ? Demanda le soldat Schmitt.
- Je n’en doute pas! Dis-je. Ce son tous de bons soldats. Ils savent ce qu’ils font ! Avec tous les vaisseaux que l’on va ramener, le Maréchal sera vraiment content. Il peut être fier !
GC m’interrompit :
- Nous sommes arrivés à destination. Je fais une demande d’autorisation pour lever le bouclier de la ville pour accoster. Préparer vous à recevoir une communication de l’Etat-major.
Je me leva et scruta l’écran.

Heure militaire : 0113


Plusieurs croiseurs approchaient du point de rendez-vous, en orbite à 12300 kilomètres de la Terre. Sur place, trois vaisseaux capturés par d’autres équipes étaient en Stand-by. La copie de GC calcula la vitesse d’approche ainsi que la trajectoire rectiligne du vaisseau. Les réacteurs de fusion à froid du vaisseau diminuèrent de puissance, le croiseur décéléra, puis s’arrêta enfin au milieu de la formation.
L’écran holographique de la salle de commande se divisa en plusieurs sections et les visages des chefs de chaque équipes apparurent en même temps.
La véritable opération allait pouvoir maintenant commencer…
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